Vue d'ensemble
À propos de nous
Créée le 1er janvier 1997, l’Agence nationale des fréquences (ANFR) est un établissement public administratif placé auprès du ministre chargé des communications électroniques, dont les missions sont définies par le code des postes et des communications électroniques (CPCE) et concernent principalement la planification, la gestion et le contrôle de l’usage des fréquences radioélectriques, qui constituent un actif stratégique du domaine public. En sus de ces missions historiques, ses compétences se sont progressivement accrues pour inclure la protection de la réception télévisuelle et la protection du public vis-à-vis de l’exposition aux ondes radioélectriques, ainsi que la diffusion par voie hertzienne terrestre du temps légal français. L’ANFR exerce son activité en concertation avec les 11 ministères et autorités affectataires de fréquences radioélectriques, qui sont représentés à son conseil d’administration. Elle est organisée en six directions sur 11 implantations en métropole et 4 outre-mer. Des informations complémentaires sont disponibles sur le site web de l’Agence (www.anfr.fr).
La Direction. Au sein de l’ANFR, la Direction de la surveillance du marché et de l’exposition du public (DSE) est en charge des missions liées à l’exposition du public ainsi qu’à la surveillance de la mise sur le marché des équipements, en étroite liaison avec les autres directions. Elle réalise des études et des expérimentations et elle participe à la normalisation dans ses domaines de compétences. Elle assure le secrétariat du comité national de dialogue relatif aux niveaux d’exposition du public aux champs électromagnétiques. Elle est composée de deux départements : le département surveillance du marché (DSM) et le département d’étude de l’exposition du public (EXPACE).
Le département. Le département EXPACE est chargé de piloter les travaux de l’Agence sur les problématiques d’exposition du public aux champs électromagnétiques et d’assurer la coordination des différentes directions dans ce domaine. Le département contribue à la mise en œuvre de la loi dite « Abeille » en ce qui concerne les lignes directrices sur la simulation de l’exposition aux ondes, les travaux du comité national de dialogue, et les points atypiques. Il établit le guide sur les périmètres de sécurité et supervise les évolutions du protocole de mesures. Il assure le suivi des normes dans le domaine de l’exposition des terminaux et des stations de base. Le département est également composé d’un laboratoire de mesure de DAS (Débit d’Absorption Spécifique) en cours d’accréditation COFRAC. Le département pilote, en interne, les groupes de travail concernant les questions d’exposition des terminaux et des stations de base et conduit les simulations de l’exposition sur la France entière.
Mission
Dans le cadre de la mesure de l’exposition du public aux ondes électromagnétiques générée par des appareils radioélectriques, un banc de mesure du Débit d’Absorption Spécifique (DAS) permet de mesurer le niveau de DAS d’un dispositif à l’essai (DAE) comme par exemple un téléphone. La puissance émise par le DAE ainsi que l’ensemble des paramètres radio sont pilotés par le biais d’un émulateur de station de base, le MT8821C. La mesure de DAS est réalisée par un banc mono-sonde à balayage robotisé (DASY8).
Le/la stagiaire aura pour objectif de développer et documenter un logiciel, permettant de piloter le niveau de puissance émis par le DAE. Les variations des niveaux de puissances seront définies dans un fichier de configuration et transmises à l’émulateur de station de base par des commandes TCP/IP.
D’autre part, le/la stagiaire aura pour objectif de permettre la génération automatique d’un rapport d’essai au format spécifié par l’ANFR à partir des données issues du logiciel DASY8.
Le stage se déroulera principalement à Maisons-Alfort avec des déplacements au laboratoire DAS du CCI Rambouillet (par transports en commun ou voiture).
Le Stage Se Déroulera En Plusieurs Étapes