Stage de fin d'étude - Ingénieur Etude Modélisation Pluie Extrême F/H

Cette année, faites partie des 5000 stagiaires à rejoindre le groupe EDF!

· Un Groupe international, champion de la croissance bas carbone qui lutte au quotidien contre le réchauffement climatique!

· Une entreprise engagée dans la transition énergétique proposant 230 métiers différents.

90% des étudiants recommandent EDF à l’issue de leur alternance ou de leur stage, (source: enquête Happy Trainees 2023)

Vos missions

Face aux enjeux liés au changement climatique ainsi qu’au prolongement de la vie des installations nucléaires, la maîtrise du risque inondation est essentielle pour EDF.

En témoignent les nombreux évènements récents, le territoire Français est loin d’être épargné par de tels phénomènes, en particulier ceux consécutifs à des précipitations intenses. Il est donc important de démontrer la robustesse des centrales nucléaires face à des pluies extrêmes, via l’établissement de modèles numériques aptes à les représenter fidèlement.

Dans ce contexte, EDF, leader de l’énergie, recherche un(e) stagiaire(e) en dernière année de formation ingénieur (ou équivalent) pour une mission de 6 mois au sein de son centre d’ingénierie nucléaire de Tours. Vous rejoindrez l’équipe d’ingénieurs et d’experts en charge de la gestion du risque inondation sur le parc nucléaire Français et sur les futurs projets de centrales.

Accompagné de votre tuteur, vous aurez pour mission de contribuer à l’amélioration des méthodes de caractérisation des phénomènes de pluies extrêmes sur les sites nucléaires d’EDF en aidant au déploiement de modèles numériques «bidimensionnels» (2D).

Au fil de votre mission, vous serez notamment amené à :

1. Assurer la gestion en «mode projet» de la création d’un modèle numérique 2D, depuis la collecte des données d’entrée auprès des parties prenantes et du terrain, jusqu’à sa validation,
2. Construire et exploiter le modèle numérique afin de comparer ses résultats avec les modèles «monodimensionnels» (1D) utilisés actuellement,
3. Conclure sur les gains possibles et présenter ces résultats auprès des décideurs en vue d’une possible généralisation du recours aux modèles «bidimensionnels» dans le futur.