Post-Doctorat : Mécanismes moléculaires et cellulaires dans les voies respiratoires humaines (H/F)

Post-Doctorat : Mécanismes moléculaires et cellulaires dans les voies respiratoires humaines (H/F)

Veuillez pour partager sur Facebook, Twitter et LinkedIn.

• Fonction publique : Fonction publique de l'État
• Employeur : Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
• Nature de l’emploi : Emploi ouvert uniquement aux contractuels
• Nature du contrat : Non renseigné
• Expérience souhaitée : Non renseigné

Rémunération : Fourchette indicative pour les contractuels 3021 à 4208 mensuels bruts selon expérience€ brut/an. Fourchette indicative pour les fonctionnaires : Non renseignée.

• Catégorie : Catégorie A (cadre)
• Management : Non renseigné
• Télétravail possible : Non renseigné

Missions

Le post-doctorant travaillera sur un projet translationnel financé par l'ANR 2024, dont l’objectif est de mieux comprendre les maladies respiratoires chroniques par des approches de génomique de pointe et de biologie cellulaire. Le post-doctorant contribuera à mettre en évidence une nouvelle voie de régulation des équilibres cellulaires dans les voies respiratoires, dans le contexte de pathologies respiratoires chroniques telles que la Bronchopneumopathie Chronique Obstructive et les dyskinésies ciliaires.

Les approches utilisées par le laboratoire impliquent des modèles de cultures primaires d'épithélium bronchique différentiées en interface air-liquide, l’inactivation ciblée de gènes par CRISPR-Cas9, l’imagerie, les approches transcriptomiques sur cellules uniques et spatiales, et les études de la chromatine. Le projet comprend une dimension d’analyse bioinformatique à laquelle le postdoc contribuera en lien avec les bioinformaticiens de l’équipe.

Le projet est mené en collaboration étroite avec les équipes de cliniciens de 3 CHU et les plateformes de génomique et bioinformatique du laboratoire.

Contexte de travail

Le poste est à pourvoir au sein de l'Institut de Pharmacologie Moléculaire et Cellulaire à Valbonne – Sophia Antipolis (Alpes Maritimes). L'IPMC regroupe 22 équipes de recherche et des services communs pour un effectif global de plus de 250 personnes.

La personne recrutée travaillera au sein de l'équipe de recherche "Génomique physiologique des Eucaryotes", dirigée par le Dr. Pascal Barbry, sur des projets menés par le Dr. Laure-Emmanuelle Zaragosi. L'équipe, qui développe une approche de biologie quantitative, associe expérimentalistes et bio-informaticiens. C'est la première équipe française à avoir été impliquée dans le consortium international Human Cell Atlas.

Le projet s'effectue en étroite collaboration avec une équipe de l'Université de Reims Champagne Ardenne, et une équipe du CHU Trousseau à Paris.

Profil recherché

Le/la candidat(e) devra justifier de compétences avérées dans plusieurs des champs suivants : biologie cellulaire et moléculaire, biologie du développement, génomique, physiologie respiratoire. Des antécédents dans des projets de recherche sur la biologie du poumon ou les maladies pulmonaires sont souhaités. Des compétences en bioinformatique ne sont pas requises pour postuler, mais une formation et une expérience en bioinformatique seront grandement appréciées. Le/la candidat(e) devrait avoir idéalement une première expérience post-doctorale avec pour ambition de candidater aux concours de chargé(e) de recherche.

Niveau d'études minimum requis

• Niveau : Niveau 8 Doctorat/diplômes équivalents

C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16000 chercheurs et plus de 16000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.